Des initiatives alternatives pour les fermes, pour une autre type de relation avec les animaux sans les exploiter, sans les tuer.

« Du 1er septembre au 4 octobre 2020 les communautés chrétiennes sont invitées à célébrer le Temps de la création. Durant cette période, les chrétiens, dans le monde, renouvellent la foi en Dieu créateur et s’unissent dans la prière et dans l’action pour la sauvegarde de la maison commune.

"Les forêts brûlent, partout dans le monde. Par leur complicité ou leur attentisme, les dirigeants du monde entier mettent en péril l’avenir de notre planète. Il est urgent d’agir.

Ce rapport, basé sur des études de spécialistes, veut attirer l’attention sur la contribution du secteur de l’élevage au réchauffement planétaire qui nous menace tous. Peu de gens se rendent compte que ce secteur, comme l’indique la FAO, est responsable de près de 15 % des émissions anthropogéniques de gaz à effet de serre (GES).

Au cours de l’année écoulée, les scientifiques ont réitéré à plusieurs reprises ce qui prend la forme d’un choix unique : réduire drastiquement la consommation de viande afin de sauver la planète.

Le porc et le poulet, bien que viandes moins émettrices, posent d’autres problèmes à l’environnement, dus aux élevages industriels, notamment en termes de pollution des eaux. Le régime très riche en nutriments des animaux entraîne un taux d’azote supérieur à la normale dans les eaux rejetées et peut entraîner des problèmes de santé publique autant que la prolifération indésirable d’algues et de la population microbienne des eaux, perturbant ainsi les écosystèmes marins.

Renoncer au boeuf au profit d’autres sources de protéines pourrait sauver des millions de vies et réduire de façon spectaculaire de volume des gaz à effet de serre, a annoncé jeudi le Forum économique mondial (WEF).

Over the last decade or so, the media have slowly but steadily fed the public information about the staggering impact of our meat-eating habits on the environment, and on climate change in particular. For instance, one recent study found that a global transition toward low-meat diets could reduce the costs of climate change mitigation by as much as 50 percent by 2050.

Une étude, publiée dans Nature le 10 octobre, s’est penchée sur l’empreinte environnementale de ce que nous mangeons. Premier constat : la situation n’est pas tenable si nous voulons rester dans les limites planétaires, au-delà desquelles le fonctionnement et la stabilité de la planète seraient significativement affectés, menaçant de fait l’humanité.

“Eat less meat” has become a mantra of climate change activists, but there’s plenty of meat on the menu at the COP24.

We’re now more than a week out from when the UN’s Intergovernmental Panel on Climate Change dropped its terrifying report detailing the urgency to dramatically reduce emissions and stop global warming in the next three decades or so. Meat eaters, we are sorry to report that we have bad news for you : You’re a big part of the problem.

“The meat-laden menu at COP24 is an insult to the work of the conference,” said Stephanie Feldstein, director of the population and sustainability program at the Center for Biological Diversity. “We can’t afford to be serving up cheeseburgers at climate conferences if we’re going to have an honest conversation about the role of food in the climate crisis.”

A massive reduction in the quantity of meat being consumed combined with huge changes to farming techniques are essential to guarantee our planet’s future ability to support humanity, a major new report has warned.

Beef’s environmental impact dwarfs that of other meat including chicken and pork, new research reveals, with one expert saying that eating less red meat would be a better way for people to cut carbon emissions than giving up their cars.

Agriculture produces an astounding one-third of all global greenhouse gas emissions. Meat and dairy alone generate about half of those food-related emissions—more than the combined tailpipe discharges from every plane, train, car, bus and boat around the world. We simply cannot meet our emissions reduction goals if we do not address meat and dairy consumption, even if all 10 strategies in the America’s Pledge plan are successful. High meat-consuming countries like the U.S. must lead the way.

Avoiding meat and dairy products is the single biggest way to reduce your environmental impact on the planet, according to the scientists behind the most comprehensive analysis to date of the damage farming does to the planet.

Food production already causes great damage to the environment, via greenhouse gases from livestock, deforestation and water shortages from farming, and vast ocean dead zones from agricultural pollution.